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Le matériel informatique et les télécoms
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14 novembre 2013

SFR, mon retour comme handicapé, sans Comité de reclassement.

SFR, comme à son habitude, a rendu ses conclusions, en dernière minute, pour l'audience du 11 octobre 2013 à la Cour d'Appel de Lyon. Il espérait ainsi une fois de plus gagner du temps, dans l'espoir de m'épuiser, il se trompe !

Depuis le 16 mai 2001, je n'ai pas encore pu faire le deuil de ce tragique accident, qui n'arrête pas de nous pourrir la vie, dans tous les domaines.

Voici les grandes lignes :

  •  Juillet 1998, embauché chez SFR à l’âge de 50 ans.
  • Le 31 décembre 2000, toujours en excellente santé, travail très intéressant, bien noté.
  • Le 16 mai 2001, en mission, un chauffard venait de mettre un trait sur ma carrière professionnelle, aidé en cela par la suite, par des acteurs peu scrupuleux.

L'accord handicap 2002, avec mise en application au 01 janvier 2003.

 

Capture1 accord handicap 
  • En mars 2003, j'avais annoncé ma reprise éminente. 
  • Le 18 avril 2003, sans scrupules, mes responsables suppriment mon poste.
  • Mes responsables m'avaient réservé un autre poste, sans choix possible, SFR n'embauche plus.
  • Mes responsables ont fait abstraction de la Mission Handicap, et de la visite médicale. 
  • Les Institutions Représentatives du personnel n'ont pas joué leurs rôles.

Le point de départ, avec la volonté de me, marginaliser :

À mon retour, le 01 octobre 2003, deux ans et demi plus tard, après m'avoir supprimé mon poste, on m'a dirigé vers le placard, en me proposant d'office un poste de début de carrière, sans l'aval de la Mission Handicap, et de la Médecine du travail.

  • L'accord handicap n'a pas été respecté (extrait de l'accord, signé le 14 juin 2002). 

                                   

Capture2 Plan de maintien

 

De plus, un Plan d'accompagnement RH (Ressources Humaines) & d'Évolution 2000-2003 (document de 48 pages), avait été mis en place avec l'aide d'un Cabinet extérieur. J'ai donc passé le premier entretien avec mon manager, le 07 novembre 2000. Tous mes collègues, plus jeunes que moi, ont profité de cette opportunité pour évoluer.  Là aussi, avec "cynisme" mon ancien responsable, dans un petit fascicule, donnait des interviews.

Pourquoi ce responsable m'a-t-il oublié, et a préféré me sacrifier. J’ai pourtant vu la mort en face, j'aurais pu me faire tuer pour son service, sans aucune estime, il m'a jeté comme un Kleenex.

Le point de vue et des extraits de Jean-Michel TREHIN. :

  • · « Prendre un nouveau départ, c’est évidemment un challenge, mais

c’est aussi un tremplin vers de nouvelles opportunités professionnelles… »

  • · « Le RRH et moi-même nous nous assurions que tout était prêt pour les

accueillir dans leurs nouveaux services. ».

  • · « que chacun ait un projet cohérent et constructif, qu’il trouve une voie qui lui plaise
  • · « le suivit de chacun de mes collaborateurs m’ont évidemment demandé du temps

Le point de vue et des extraits Olivier D., chef de projet RH (Ressources Humaines):

  • · « Les repositionnements ont «été synonymes de réelles évolutions professionnelles
  • · « Que diriez-vous aux collaborateurs qui ne se sont pas encore repositionnés ? Nous avons toujours tenu nos promesses, …de plein droit jusqu’au 31/12/2003. »

Le point de vue et des extraits de Catherine D., Responsable du projet, chez Econova.

  • · « Il est vrai que la démarche de Cegetel* est assez unique en son genre : d’abord parce qu’elle vise le maintien de tous les collaborateurs, propose un dispositif d’accompagnement sur mesure »
  • · Toutes les pistes ont été explorées, tous les cas de figure ont été envisagés dans le moindre détail et adaptés selon la situation de chacun »

Ces extraits me donnent envie de vomir, je voudrais que ces responsables puissent justifier d'un tel comportement à mon égard, en me mettant délibérément de côté ?

Ce Plan Ressources Humaines m'est passé complètement sous le nez, j'ai retrouvé des documents beaucoup plus tard, n'ayant pas retrouvé mon bureau à mon retour, en rendant mon PC portable, mes données personnelles avaient été perdues.

                                        Capture3 Or, contrairement

 

Le premier jour, rien n'avait été prévu, l'accueil a été très basique, j'ai été pris en main directement par un jeune manager, qui ne m'avait jamais quitté des yeux par la suite. On m'avait démontré dès les premières semaines que j'étais un salarié handicapant, et inculte dans le domaine du professionnel. Avec un bilan de l'année, évaluation, ou entretien individuel, au même titre que mes collègues, sur mes trois premiers mois en mi-temps thérapeutique, avec une notation très basse, et humiliante.

A peine arrivée j'étais déjà en compétition avec mes jeunes collègues. Le plus grave, on me faisait rater mon nouveau départ. Mais voulu, qui allait avoir une incidence sur mon évolution professionnelle, les augmentations, les primes. Il aurait dû a contrario me faire bénéficier d'une formation.

Alors que je n'étais pas encore installé, j'ai eu des notes décevantes, approuvé par mon N+2, monsieur Louhari DATI. Ce qui m'a choqué, pourquoi m'avoir fait passer un bilan sur trois mois de mi-temps thérapeutique. Cela n'avait aucun sens, d'autant plus que je n'avais en cette fin d'année 2003, pas d'objectif clair, livré à moi-même, sans remise à niveau, ni formation, mon manager  était trop occupé à atteindre ses propres objectifs 2003.

Dès le départ, on m'a mis dans une position d'échec, et affaiblit aux yeux de mes jeunes collègues qui avaient de l'ancienneté dans leur travail.

Dans cette même période, j'ai dû faire appel aux délégués du personnel pour avoir un poste de travail attitré.

Le jeune DTR* (Directeur Technique Régional), Vincent BAUMIER, n'avait apparemment pas apprécié la venue des représentants du personnel, si j'en juge par sa réaction. Il m'avait donc convoqué, ce n'a été que brimades, (avril 2004), voici un exemple, " je vais te dire une chose qui va te faire mal : "d'après tes responsables, tu n'es pas fait pour ce travail ! (Mon manager et mon N+2)".  L'élu CFDT, m'a rapporté ce message entre autres, de la part de "ce jeune Loup" : "si tu as envie de travailler, tu reviens à plein temps". Ces propos relatés dans des courriers internes n'ont jamais été démentis par l'auteur. Mais aucune formation ne m'a été dispensée pour me faire évoluer, je n'avais plus aucune autonomie, ce n'était que mes premiers mois de reprise, à mi-temps thérapeutique.

Ce premier DTR Vincent BAUMIER n'était pas très humain, un homme sans âme, qui n'aimait pas les "Canards Boiteux". Dès mon arrivée il me mettait une forte pression.

À son arrivée, il avait débarqué sa secrétaire de Direction, madame Hélène PAPILLON. Il avait été certainement embauché pour rafraîchir l'effectif.

Suite à plusieurs courriers,  il a voulu ensuite se justifier, avant que les experts ne se prononcent. Il me considérait déjà comme "fichu". Il avait décrété, en coordination après la sollicitation de mon nouveau manager, puis de mon responsable de l'époque, d'alléger le service. De me virer de mon poste, et "de me clouer" à mon siège, bien avant ma reprise. Donc sans l'aval du Médecin du travail, et de la Mission Handicap. La vue de la voiture dans laquelle j'ai été désincarcéré, après un choc frontal, a-t-elle influencé cette décision ?                                        

Capture4 Ainsi, contrairement aux allégations de M Thery

 

Monsieur Vincent Baumier contredit cette affirmation, dans une de ses réponses, le 17 juin 2004, au sujet des déplacements. J'habitais à environ 30 km de mon lieu de travail.               

Capture5 Je t'ai demandé si tu

                     Je lui avais répondu que je ne conduisais pas. Je ne sais pas si ce monsieur se rend compte que j'avais eu un grave accident. Ma priorité première était mes soins. J'avais trop de démarches à effectuer pour me préoccuper de la conduite.

Malheureusement mon responsable a précipité mon retour.

Par compte, celui-ci aurait pu faire emménager une voiture de service pour me permettre de rebondir :

                                                                                                         Pièce N° 21

 

Capture6 Sur l'aménagement du poste

 Un commentaire de Monsieur Yves POMMIER, mon nouveau responsable.

 

Capture7 et d'aménager ton espace de travail 

Alors que dans le nouveau bâtiment, j'avais un bureau comme mes autres collègues.

Je rappelle que mon poste de travail a été installé, le 16 mai 2006, environ 30 mois après ma reprise. Voici un extrait du rapport Ergographe :

 

Capture8 L'installation actuelle de son poste

Le Conseil d'SFR joue astucieusement dans ses Conclusions, avec le temps. Satisfaction, oui, mais 30 mois plus tard.

Capture8
Dans cette pièce, je parle de mon incompréhension que ce poste n'est pas été mis en place dès mon retour (...) pour moi handicapé, un bureau et un siège adapté est un prérequis pour pouvoir travailler dans des conditions décentes."

 

Capture9 En effet, le 2 juillet 2003, plusieurs mois 

L'accord handicap n'avait pas été respecté, et devant la faite accomplie, la mission handicap a pris le relais, à partir du 2 juillet 2003.

L'accord avait été signé le 14 juin 2002, avec mise en application, le 01 janvier 2003, mon poste a été supprimé le 18 avril 2003.

L'élément le plus important pour moi était l'emploi, et pour mes responsables les économies qu'ils allaient réaliser.

 

Capture10 Le 22 aout 2003, M Thery 

Ce 18 avril 2003, mon responsable Jean-Michel TREHIN, m'annonce froidement, sur un coin de table que mon poste était supprimé. Ensuite, il m'avait mis la pression, en me faisant savoir que SFR n'embauchait plus, et qu'il fallait prendre le nouveau poste qu'il m'avait réservé, et rapidement. Cela c'est relevé complètement faux puisque quelques mois plus tard nous emménagions dans un bâtiment flambant neuf, et des dizaines de salariés de différentes régions sont venus y travailler.

Donc, le responsable Handicap, de l'époque, m'avait effectivement trouvé une solution pour pouvoir aller au travail, en mi-temps thérapeutique pour six mois.

Dès que j'ai pu, j'ai repris ma liberté.

 

Capture11 Parallélement, la société SFR ayant 

Cela a dû être évoqué, à cette époque j'avais la tête ailleurs, je ne me faisais pas de souci, connaissant SFR.

J'avais simplement oublié, que (J2M), Jean-Marie Messier avait été débarqué au cours du premier trimestre 2002, suite à la quasi banqueroute de VIVENDI, pour lui le social était une de ces priorités.

Avec le nouveau dirigeant de VIVENDI, monsieur Jean René FOURTOU, la donne avait complètement changé. Il fallait le plus vite possible renflouer VIVENDI, pour cela SFR (sa vache à lait) était à contribution.

Une parenthèse :
Événement 29/06/2007 à 08h34 
Jean-René Fourtou, un train de vie de folie

A lire dans Libération 

http://www.liberation.fr/evenement/2007/06/29/jean-rene-fourtou-un-train-de-vie-de-folie_97263

Alors que je trimais, en quelques années l'action VIVENDI est passée de 8 € à 31 €, plus-value 37 millions d'euros, pour la famille FOURTOU.


Un extrait :
"De 8 euros au plus bas, le titre vaut aujourd'hui autour de 31 euros. Du coup, le 18 juin, Fourtou a exercé pour 2,4 millions de stock, sans toutefois vendre les actions. Sa plus-value potentielle est impressionnante : 37 millions d'euros".

Pendant mon arrêt-maladie après l'accident, mon PEG (Plan Épargne Entreprise), avait pris une courbe contraire, et impressionnante. L'action achetée à 60 € ne valait plus que 8 €. C'est à ce moment que le nouveau PDG a investi avec sa petite famille. Nous salariés nous n'étions pas aux commandes. Le PEG a plongé, m'avoir fait quitter l'entreprise plus vite que prévu ne m'a pas permis de limiter les pertes.

Cet ancien PDG, à plus de 70 ans, toujours aux commandes, il attend patiemment que l'action VIVENDI remonte, pour partir avec un juteux pactole.

Pour cela, il envisage de larguer SFR, (mettre sa vache à lait à la réforme).

Pour compléter :

Dans les entrefaites, pour raisons d'économie", SFR n'avait plus les moyens de me payer un PC en parfait état de marche, et c'est à cause de celui-ci que mes ennuis ont été entretenus.

Plusieurs de mes collègues dans mon ancien service ont eu des aménagements de poste, la différence, ils étaient beaucoup plus jeunes que moi.

La première visite médicale a eu lieu, le 01 octobre 2003, le médecin du travail était devant le fait accompli, il n'avait plus qu'à suivre les directives de la Direction. 

Capture12 Or, ainsi que l'a souligné la Médecine du travail
Capture26 Monsieur THERY avait parfaitement connaissance

 Moi je voulais reprendre mon poste, comment pouvait-il connaître mon état de santé ?

À mon avis, j'étais sur le chemin de la guérison :

  • L'accident, le 16 mai 2001, pendant une semaine, j'étais nourri avec une sonde.
  • J'ai quitté mon fauteuil roulant en octobre 2001, après avoir été pris en charge par le Centre de Rééducation Fonctionnel de Val Rosay.
  • Ensuite, avec un déambulateur, j'ai réappris à marcher.
  • Avec des cannes, j'ai pu me déplacer plus facilement, pendant plusieurs mois.
  • Le 01 octobre 2003, le jour de ma réinsertion chez SFR, pour six mois en mi-temps thérapeutique, je remarchais, et  cette fois sans canne, j'avais retrouvé la liberté.

Je faisais tout pour reprendre mon activité, je n'ai pas lésiné pour faire de la rééducation chez moi, le week-end pour retrouver plus rapidement ma mobilité.

Le travail en hauteur ci-dessous n'est qu'un alibi de plus, en effet le travail en hauteur n'est pas un impératif, un aménagement de poste aurait été possible. Tout comme m'empêcher de rouler toute l'année, au motif que je n'ai pas de chaîne à neige dans le coffre de ma voiture, serait une aberration.

J'ai eu à me servir de mes équipements lors de mes stages, uniquement !

Voici mon emploi du temps.et la mauvaise foi de ces responsables. Pendant les six mois avant l'accident, on peut s'apercevoir que les déplacements ne représenter qu'à peine un quart de mon temps de travail. Alors pendant mes six mois de mi-temps thérapeutique, il y avait bien un moyen d'aménager ce poste, rien n'a été tenté.

En me laissant le temps de reprendre mes marques, avec une voiture aménagée, j'aurais pu me rendre sur le terrain. La grande majorité des sites sont accessibles, et de pleins pieds.

 

Capture14 Emploi du temps

 

Travail en hauteur, (avec harnais et casque), je m'inscris en faux contre cet argument :

  • Premièrement, je me suis servi uniquement des équipements que pendant les stages.
  • Ce sont souvent des opérations programmées.
  •  Il est interdit d'aller seul sur un site exposé.
  • Ce sont les techniciens ou les sous-traitants qui interviennent sur ce type d'infrastructure.

Ce qui n'a pas gêné ce jeune DTR de m'installer dans un immeuble au 8 éme étage, au Quartz à Villeurbanne. Dans ce bâtiment, j'ai participé à plusieurs alertes incendies, ou j'ai du comme mes jeunes collègues, et sans précaution particulière descendre les escaliers de secours.

D'après SFR, j'aurai décidé de me faire Hara-Kiri, et d'abandonner tous les efforts, fournis jusqu'à cette date. Dans ma carrière professionnelle, je n'avais jamais refusé une mutation géographique, qui m'avait conduit à changer d'emploi dans plus de six départements différents, entraînant plus de huit déménagements, pour différentes sociétés, pour pouvoir évoluer plus rapidement.

Je m'inscris en faux une fois de plus, on ne m'a pas demandé mon avis. À mon avis, j'étais simplement en train de me rétablir. Un aménagement de poste n'a même pas été tenté, et surtout la Mission Handicap n'a pas été sollicitée par la DRH, et le CHSCT n'a même pas réagi.

Il faut savoir qu'en faisant pression "SFR n'embauche plus", mon responsable a précipiter ma reprise. J'avais toujours de la kiné, j'avais toujours des visites de contrôle, des expertises, donc je faisais confiance à SFR pour me remettre le pied à l'étrier, pour pouvoir continuer ma carrière professionnelle.

Le plus choquant avec le recul, que l'élu CGT, relatait dans un de ces mails, je n'ai jamais eu aucun entretien, ni avec la DRH, ni avec mon responsable. Je n'avais même pas été présenté à mes nouveaux collègues. Seul le jeune manager m'avait demandé de m'installer là en attendant. Sans prendre en compte mes desiderata, il semblait déborder:

 

Capture15 Nicolas 03-08-2006, piece 35

 

SFR m'avait mis sur un poste sédentaire, le Professeur qui me suivait m'avait conseiller en restant assis, une planche à roulettes pour roder le genou, le bureau n'avait été adapté que, le 16 mai 2006.

D'office on m'avait réservé un poste de début de carrière dans un autre service. Dans un travail de catégorie inférieure. Un travail répétitif. Travail sans intérêt pour moi, je suis avant tout un homme de terrain, j'ai toujours aimé la technique. Entre autres, je faisais de la marche, et de la haute montagne. Et subitement je me suis retrouvé sédentaire, assis à longueur de journée. Pour moi en plus de mon handicap, mes responsables m'avaient "emprisonné", et fais surveiller par un maton.

Je ne comprends pas pourquoi la Mission Handicap n'avait pas été sollicitée, avant de me supprimer mon poste. Mes responsables savaient que c'est suite à un Accident de Travail (apparemment non déclaré puisque je suis resté huit mois en maladie, après de nombreuses démarches, j'ai été passé en Accident de Trajet).

À leur avis j'étais déjà handicapé puisque "compte tenu de l'état de santé"

Le DTR, Vincent BAUMIER, se justifiait par mail, le 17 juin 2004. La langue de bois est adaptée à chaque situation, mais il m'avait appris que ma carrière professionnelle a été brisée, à cause de mon handicap :

 

Capture16 Monsieur Thery avait parfaitement - Copie

Pour les déplacements, il ne voyait pas de problème :

 

Capture17 il exixte des équipements 

Et comment le Médecin du travail aurait-il pu être aussi catégorique, ce n'est pas un expert. Comment ce médecin à lui seul, aurait-il pu orienter ma carrière professionnelle comme bon lui semble. Pour mon cas, la décision avait été prise le 18 avril 2003, sans Comité de Reclassement.

Qui savait mieux que moi, ce que je pouvais entreprendre, au lieu de me sacrifier.

J'avais un travail que l'on m'avait imposé, dans un service où six régions devaient fusionner, sédentaire, dans un poulailler, ma santé se dégrader de mois en mois. J'étais assis à longueur de journée sans pouvoir effectuer les exercices préconisés. Un travail comme auparavant, en bougeant à longueur de journée, aurait contribué à me rétablir beaucoup plus rapidement, avec le moral en plus. D'autant plus que le responsable du Centre d'Administration, Yves POMMIER, n'a pas voulu entendre parler d'aménagement pour que je puisse continuer ma rééducation.

 

Capture18 piece 27 Nous faisons suite à votre 

Voici un extrait de la réponse, de monsieur Yves POMMIER assez évasif :

 

Capture19 Pommier, Je t'ai également conseiller 
  • Un mail avait été envoyé, le 08 février 2005, à la Responsable Handicap, pour relater l'incident.
  • Ce monsieur, au lieu de m'aménager mes congés, quelques jours plus tard m'avait fait doubler ma charge de travail.

J'aspirais après avoir vécu l'enfer dans ce service depuis ma réinsertion, enfin pouvoir revivre, reprendre un vrai travail, en relation avec mes compétences, poste qui était la suite logique de mon précédent emploi, avant l'accident.

Une fois de plus, sans tenir compte des accords Handicaps, (2003, et récemment 2006), la même situation allait se reproduire.

 

 

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