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29 décembre 2014

SFR, réponse à la CGT Centre-Est, sur le scandaleux comportement des Représentants du personnel

J’avais publié, sur mon blogue de Mediapart, dont voici un petit extrait, des conversations d’ appels téléphoniques de 2006, alors que j’étais en arrêt-maladie, suite à mes conditions de travail..

Conversations téléphoniques, entre moi et monsieur Nicolas de Brabant, sur ses démarches auprès de la direction. Celui-ci m’accompagnait pour me sortir de mon placart dans lequel j’avais été enfermé par Monsieur Vincent Baumier, et surveillé par monsieur Emmanuel PICTON, un vrai Maton.

 « SFR, le scandaleux comportement des Représentants du personnel.

10 JUILLET 2014 | 

Monsieur Nicolas de Brabant, élu CGT (rouge), va nous faire entrer dans les coulisses de son vrai métier, et va nous démontrer cette fois en paroles, à travers son exemple, le vrai rôle, des Représentants du personnel de SFR, Centre-Est ».

Pour retrouver ces démarches en paroles, et les encouragements de monsieur Nicolas de Brabant, consultez mon blogue Mediapart :

http://blogs.mediapart.fr/blog/freeday/090714/sfr-le-scandaleux-comportement-des-representants-du-personnel-0

 

A l’issue de cette publication, monsieur Thierry CHESA a voulu apporter son point de vue, et défendre sa crèche, que je retranscris, puisque sa réponse est assez synthétique, donc, ne contient que quelques lignes, ci-dessous, et pour lequel on m’a conseillé de répondre.

Pour rappel, monsieur Thierry CHESA, élu CGT Centre-Est, est un des six signataires de l’Accord Handicap, du 20 novembre 2002, relayé à grand renfort de publicité dans les médias.

Mais on sait aussi, que la publicité est surtout là pour nous faire rêver, la réalité est parfois surprenante.

 

« 10/07/2014, 10:44 | PAR TCHESA

Bonjour,

Je ne comprends pas l'intérêt de publier ce texte.

1 les faites relatés date d'une dizaine d'années.

2 La plupart des personnes mises en cause ont quitté qui l'entreprise, qui le syndicat.

3 C'est un réquisitoire à charge qui ne repose sur pas grand chose. Même les enregistrements de conversations téléphoniques, faites à l'insu des personnes mises en cause sont sorties de leur contexte et n'apportent pas grnad chose.

J'ai moi même travaillé avec Claude et participé à la gestion de son cas. J'ai bien connu Nicolas qui a depuis quitté et SFR et la CGT. C'est une personne intègre qui a donné beaucoup de son temps et d'énergie pour aider son collègue. Mais quand la personne que l'on défend enregistre les conversations sans avertissement pour s'en servir ensuite pour salir son collègue, il y a un problème.

Dans cette affaire, Claude a utilisé tous les syndicats de l'entreprise les uns après les autres pour passer sa rancoeur contre SFR.

Beaucoup de gens ont essayé de l'aider, de l'accompagner, il a toujours choisi à un moment de les rejeter et de leur cracher à la figure.

OK, il a fait un blog, écrit des milliers de pages, au PDG de la boite, jusqu'au Président de la République. Cela ne rend pas sa démarche plus légitime.

Il a eu un accident de voiture dans le cadre de son travail. Ce n'est ni le premier ni le dernier salarié à qui ça arrive. On peut le regretter, le déplorer, mais ça fait partie des risques de la vie. On peut chercher à les réduire, prendre des précautions, on ne peut pas les éradiquer ni les annuler. Il faut faire avec, c'est ce qu'il a toujours refusé d'admettre.

Du coup, on est encore dans le discours ambiant des syndicats tous pouris. Ce n'est pas ce que l'on vit dans les entreprises. C'est peut être utile de le rappeler.

 

Merci

 

T CHESA »

 

Confortablement installé à son bureau, avec un bon salaire, un travail intéressant, il est difficile de s’imaginer le devenir, ou les motivations, d’un salarié, qui est devenu handicapé en mission et qui a été rejeté, puis licencié, ou un salarié licencié qui est toujours en chômage, comme des centaines actuellement sur le carreau.

L’accident est toujours imprévisible, il fait partie de la vie, je suis d’accord.

Mais c’est surtout l’après accident, mon retour jusqu’au lynchage, que des personnes soi-disant « intègres », m’avez fait subir, que je déplore, (les personnes citées dans les dossiers).

S’il y avait eu une Mission Handicap digne de ce nom, avec  de véritables moyens et en respectant les accords, et surtout un vrai chef d’entreprise qui respecte l’humain, ce débat n’aurait pas eu lieu.

Mr CHESA : « Je ne comprends pas l'intérêt de publier ce texte »,==> je trouve qu’il est important de dénoncer ces pratiques, pratiques commentées et signées par mes détracteurs, je n’invente rien, tout est sur mon blogue.

Le relater, aux salariés SFR pour qu’ils soient plus méfiants envers les syndicats, aux clients de sfr, au monde du l’handicap, aux journalistes, les magouilles qui ont eu lieu dans les coulisses de cette grande entreprise, de voir le vrai rôle de chacun et le comportement malsain de quelques individus.

Aucun salarié n’aurait imaginé que son sort était lié à la personne de confiance qu’il avait choisie, pour lui confier ses problèmes.

 Difficile d’imaginer que tout était rapporté à la direction, les mails en attestent. Et cela, dans toutes les structures, qui étaient censé me venir en aide.

Les délégués du personnel sont élus, grâce aux votes des salariés. Ceux-ci sont là pour jouer d’intermédiaire entre le salarié et l’employeur. Le salarié doit pouvoir en cas de difficulté se confier, il doit être ensuite épaulé, par une personne de confiance.

Chez SFR, en faisant le point aujourd’hui, je n’ai rien trouvé de tout cela.

Une véritable équipe de destabilisation avait été mise en place, et tous, sont restés passifs, avant d'agir avec cruauté. Le DTR avec cynisme, attendait tout simplement que sa proie s'épuise, en luttant déséspérement contre des moulins à vent.

Il fallait par tous les moyens chasser cet handicapé, qui n'était plus un salarié, plus rentable, à leurs yeux.

La Mission Handicap, la première à devoir m’aider, puisque des accords ont été signés dans ce sens, rien n’avait été respecté, la responsable n’a rien à voir dans ce dysfonctionnement, il était voulu, et dirigé par la direction, et soutenu par le directeur de l’époque, et qui faisait office de Médiateur.

La Mission Handicap n’existait en interne que de nom, par contre en externe, elle était très performante, mais, en paroles. Elle servait surtout de base de propagande, pour que Sfr puisse se faire une image.

Le Médiateur, que de nom, qui devait être un homme, lui aussi intègre, ne défendait que les intérêts de l’employeur, et pourtant il est devenu par la suite, en extérieur un référent prêchant la bonne parole, porté par SFR.

Voir mon blogue sur ce cas précis :

http://telecominfo.canalblog.com/archives/2013/11/13/28426881.html

 

Le CHSCT, représenté par sa secrétaire de l’époque, n’en parlons pas, elle se croyait toujours secrétaire de direction, mais cette fois avec le pouvoir, de nuire, pour servir ces intétêts.

Les élus, sur les deux auxquels j’avais fait appel, (CFDT & CGT).

 Je pensais cette fois avoir trouvé mon sauveur, après avoir été délaissé sans raison par le premier représentant, CFDT. En effet, on disait, monsieur Nicolas de Brabant CGT « rouge », (acharné pour la défense des travailleurs), en faite, il s'est avéré que ce n’était qu’une légende.

Ils ont fait semblant de m’accompagner, ils ne m’ont rien apporté, que du vent, et aujourd’hui ils m’ont mis dans le pétrin, surtout, monsieur Nicolas de Brabant.

Mr CHESA : « J'ai bien connu Nicolas qui a depuis quitté et SFR et la CGT. C'est une personne intègre qui a donné beaucoup de son temps et d'énergie pour aider son collègue ».==> Il a donné beaucoup de temps et d’énergie, mon constat avec le recul, un mois après notre dernière rencontre d’août 2006, il était déjà en stage d’ingénieur, et un an plus tard, il avait retrouvé un bon travail à l’extérieur. Il fallait pour cela, la signature de la direction, pour partir rapidement, il avait donc une mission bien précise. Ce mail de pure imagination me mettant en cause, en est la confirmation, donc lui aussi, faisait semblant de me défendre, lui aussi par intérêt personnel !

Monsieur Thierry Lepaon est lui aussi intégre . L'habitude fait perdre la notion des réalités, et on ne voit plus ce qui est bon pour la défense des salariés, ou la défense de ses propres intérêts. Donc, profité du poste, donne un certain pouvoir, pourquoi pas en abuser.

Ce qui se passait dans l'ombre est apparu subitement à la lumiére.

Et là, on peut s'apercevoir du vrai rôle de chacun, et avec quel acharnement ils défendent tous leurs intérêts, en obéissant à leur protégé.

Mais chacun se fera son opinion !

Voici la partie ou l’on retrouve les mails des représentants du personnel, conclusions, remis à la justice par SFR.

http://telecominfo.canalblog.com/archives/2013/11/14/28428913.html

 

Mr CHESA :  « La plupart des personnes mises en cause ont quitté qui l'entreprise, qui le syndicat ». ==> Moi aussi j’ai quitté la société, mais par la petite porte, je n’oublie pas pour autant. Eux ont vite oublié, et vite tourner la page.

Mr CHESA :  « les faites relatés date d'une dizaine d'années ». ==> Pas toute a fait, tout est relatif, je suis tous les jours confronté aux retombées de cette marginalisation. J’ai appris la trahison en novembre 2011, la veille de l’audience aux Prud’hommes. Ces accusations diffamatoires pour intérêt personnel ont été profitables à SFR, les juges ont été très sensibles au contenu de ces mails venant de « personnes respectables », dont une, m’accusait de maladie incurable. Puis l’arrêt de la Cour d’appel, en décembre 2013, et le mémoire ampliatif a été déposé devant la Cour de cassation, en mai 2014, donc tout cela est toujours d’actualité.

Et le sera, jusqu’à l’arrêt, de la Cour européenne des droits de l’homme, car en Cassation, passage obigatoire, je n’y crois plus, le dossier de SFR a été bien ficelé, avec des Représentants du personnel, sans scrupules, mais censé être intègres pour les juges, et ils n’ont pas le temps de faire la part des choses, entre le vrai du faux.

Il faut savoir que tous les coups sont permis, les mensonges aussi, à moi de prouver le contraire. Mais, le petit restera petit, face à un grand groupe, qui essaie de vous laminer, avec de bons Avocats qui connaissent toutes les combines.  Qui plus est, fait partie du cercle, et un bon carnet d’adresses.

Donc, il suffit de tendre la sucette, pour attraper les mouches.

Nota : je tiens à rappeler que mon intention avait été de porter plainte, mais la vue de mon ancien responsable Louhari DATI, reçu officiellement au Sénat, juste après les élections de 2007, en compagnie de la ministre de la Justice, m’a refroidi. Je pense avoir bien fait de ne pas avoir porté plainte, elle n’aurait jamais abouti. Ce qui a retardé mon dossier ensuite aux prud'hommes, j’avais un mauvais pressentiment.

Mr CHESA :  « C'est un réquisitoire à charge qui ne repose sur pas grand chose. » ==> Monsieur CHESA défend son fond de commerce, chacun jugera !

Mr CHESA :  « Dans cette affaire, Claude a utilisé tous les syndicats de l'entreprise les uns après les autres pour passer sa rancoeur contre SFR.

Beaucoup de gens ont essayé de l'aider, de l'accompagner, il a toujours choisi à un moment de les rejeter et de leur cracher à la figure ». : ==> monsieur CHESA, se dévoile, il en rajoute,  lui aussi tient aussi à me dénigrer, et me faire passer pour « un voyou ». Quelle rancoeur, je défendais simplement mes droits, mon travail, et mes conditions de travail.

J’étais revenu chez SFR après l’accident, dans l’espoir de pouvoir reprendre une vie qui se rapprochait de la normale, en essayant de m’adapter à mon état, ceci ne devait être qu’un passage, car du premier jour où j’ai réappris à marcher, au Centre de Réadaptation Fonctionnel de Val Rosay, et mes 1.500 heures de rééducation, j’avais parcouru une étape phénoménale.

SFR devait seulement me remettre les pieds à l’étrier, et ma motivation aurait fait le reste.

Mais, mes responsables en avaient décidé autrement, en me faisant revenir plus rapidement que prévu, il avait une idée macabre en tête !

Dès le premier jour, il y avait les prémices, monsieur Louhari DATI, qui était censé être mon responsable n’était pas présent pour m’accueillir, ne parlons pas de la DRH.

Non, j’avais été "accueilli" par mon maton, qui m’a ensuite formaté, et qui ne m’a jamais quitté des yeux. Et c’est, lui aussi qui a amené son soutien à la direction, pour ensuite me faire infliger une sanction disciplinaire, qui a conduit ensuite à mon licenciement.

La chute a été impitoyable, on ne m’avait laissé aucune chance de me relever. Jamais je n’aurais imaginé qu’il y avait une telle manigance à tous les niveaux avec la direction, toutes les personnes censées m’apporter leur soutien avaient été achetées pour me déstabiliser, et en plus j’étais entouré d’un vrai, nid de vipères, voire entre autre, le mail d’Alexandre Avice, qui lui aussi, m’a surpris. Javais pour lui, toute ma confiance, mais lui aussi, m'a trahi.

Une véritable équipe de destabilisation, au service du DTR, et de la DRH !

Il en a profité pour ironiser sur mes problèmes immobiliers, un montage morbide, certainement dicté par la DRH et le DTR, pourtant conscient de mes problèmes, puisque le DTR m’avait aidé à trouver une solution, mais un autre compère est venu tout compromettre, en la personne de monsieur yves POMMIER. Je suis toujours en train de faire des démarches auprès de l’administration pour retrouver, un jour la jouissance de mon bien.

Comme on peut s’en apercevoir, tous les moyens étaient bons pour dégraisser à bon compte, avec quelques complicités. Jamais on ne pourrait imaginer une telle hypocrisie de la part d’individu, que l’on pensé crédible.

Une anecdote : ce monsieur Avice a vite oublié, que lui avait eu un petit problème qui l’avait mis dans tous ces états. En effet, il n’avait plus les moyens de payer son billet de train pour aller voir ses enfants, vers la région parisienne, suite à son passage de manager à chargé d’audit. Là, une solution a été vite trouvée, il avait retrouvé ensuite la sérénité. Est-ce sa façon, comme Hélène Papillon, et bien d’autres, de regagner des gallons.

Jamais, je n’aurais imaginé une fin de carrière si pitoyable, je n’avais pas hésité à déménager neuf fois dans ma carrière, tout cela pour le travail.

Ceux qui ont déménagé rien qu’une seule fois, savent de quoi je parle, en démarches, cela anime les conversations, et est-ce que j’ai fait le bon choix, mais cela ne m’a jamais traumatisé, pour autant, c’était mon choix.

Pour Nicolas de Brabant, comment vivrait-il, avec son épouse, une telle situation !

Il est toujours temps pour lui, de dénoncer ces pratiques.

Qu’il se pose la question, de savoir quel rôle ignoble on lui a fait jouer,  pour avoir cette belle situation, qui est entaché de tricherie.

Dénoncer ces pratiques serait tout à ton honneur, et il contribuait à me sortir de ma galère actuelle, en me rendant ma liberté, pour que je puisse enfin profiter de ma retraite.

Pratiques, pour lesquelles il a été un acteur-phare, rendant possible le désir de Christophe PALFI et Christine AOBADIA, en leur donnant le feux vert, pour me virer plus facilement, avec son mail empoisonné, qui a ensuite semé le trouble, et m'a marginalisé.

Bientôt, il y aura le jugement pour les suicides de France Telecom, grâce aux anciens collègues de Nicolas de Brabant, qui eux, ont eu le courage d’alerter, sur le comportement négatif de la direction, pour là aussi dégraisser à bon compte.

SFR avait toujours un temps d’avance sur ses concurrents, en imagination. Pour gagner à coup sûr, ils avaient mis certaines brebis de syndicalistes égarées de son côté pour marquer plus de points, de cette façon il est arrivée à déloger 25 % de l’effectifs, d’un seul coup, et sans trop de bruit dans les médias, en ayant choisi un bon créneau. Il ne restait plus, qu’à continuer à écrémer à l’unité, avec d’autres tactiques, toutes aussi perfectionnées.

De toute façon, un jour ou l’autre, la lumière se fera. J’envisage de prendre les meilleurs passages et d’en faire un bouquin. La France aime faire respecter les droits de l’homme, mais des entreprises avec des patrons voyous ont sévi et sont restées dans l’ombre, en évitant le scandale. Il me reste encore la possibilité de contacter les médias, et je pense que cette histoire devrait les intéresser, tellement, elle est rocambolesque.

Je vais clore, SFR a été vendu, l’avenir pour vous tous est devenu incertain, redoubler de vigilance, les syndicats vont s’accrocher plus que jamais à leurs postes, pour certains à leur planque, car il faudra beaucoup de volontaires aux départs où Départs volontaires, pour reconquérir de nouveaux clients, la pub ne suffira pas.

Un long périple vous attend tous, plein d’imprévus.

 Courage, ce ne sera qu'une formalité pour certains, on peu parait_il oublier, rapidement.

Claude THERY

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