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Le matériel informatique et les télécoms
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14 novembre 2013

Un senior-handicapé, viré de SFR, avec l’aide des élus.

Mon parcours du combattant après un Accident du Travail, chez SFR.

J'étais un homme sportif, et entreprenant, j'avais toujours été passionné par mon travail, j'étais bien noté, j'avais 52 ans, un Accident du Travail est survenu, le 16 mai 2001, me passant dans la catégorie des handicapés, qui allait me changer radicalement de vie  

 

Nota : avant tout, je voudrais signaler que je travaillais dans un contexte particulier, et qui c'est traduit par la suite, par des suicides, dans les mêmes conditions que chez France Telecom    

 

C'est dans ce contexte que j'ai été viré, comme des milliers d'autres !

 

"Vache à lait", jusqu'à 50 % du chiffre d'affaires de Vivendi : Un extrait du document publié par les échos, et repris récemment par l'intersyndical SFR, à Fleur Pellerin.

 

http://www.cgt-sfr.fr/spip.php?article214

 

Venons-en au fait : des suicides cachés, en laissant france telecom, seul face aux médias, puis à la justice !

 

Je rappel que l'Avocat a pu démontrer au Prud'homme et en cinq minutes le temps maximum impartie pour la plaidoirie pour chacun, à la Cour d'Appel, que chez SFR il n'y avait pas de stress, en donnant en référence l'accord sortie d'un fond de tiroir, et que je travaillais d'en excellentes conditions.

 

 

Les syndicats d’SFR ont préférés laisser passer l’orage, en laissant France Télecom aux prises avec les médias, puis la justice.

 

 

 

  • France Telecom en 2010 a dénombré environ 23 suicides pour 100.000 salariés.
  • SFR avait donc une longueur d'avance, en comptabilisant, 4 suicides pour un effectif de 7.000 salariés de fin 2007 à mi-2009, soit 57 pour 100.000 salariés, il est vrai en 18 mois, mais malgré tout, SFR bas presque tous les records, soit 38 suicides pour 100.000 salariés sur une année, soit presque deux fois plus que France Télécom, et au-delà de la moyenne nationale, sans que les médias en soient informés par les syndicats.
  • Le record, 45 chez les médecins.

 

http://telecominfo.canalblog.com/archives/2014/03/05/29368755.html

                    

Seconde partie : les Prud'hommes.

J'aurais voulu porter plainte, pour comprendre, et faire punir les organisateurs de mon mal-être. L'affaire de Tristane BANON m'a fait prendre conscience que j'avais perdu trop de temps, j'avais en tête cinq ans. Ç'était trois ans, ce qui permet de mettre rapidement les "prédateurs" à l'abri.

Ci-dessous les arguments pour la défense de SFR l'ayant accusé de "harcèlement et discrimination", aux prud'hommes de Lyon.

Le Conseil de SFR rappelle :

 

Capture1 Par ailleurs, l'article L 132-1

 

SFR a une attitude déconcertante, le CHSCT vient, de fêter ses 30 ans et SFR toujours première entreprise en matière d'innovation sociale, (voir ci-dessous dans ces pages). Il met en avant son CHSCT de Centre-Est devant les Prud'hommes de Lyon, avec un pouvoir supplémentaire sur la santé au travail. Conseiller, et aider la direction à faire licencier un senior handicapé, fait maison. En m'accusant, d'être détenteur d'une maladie incurable, et de harcèlement. J’ai été profondément blessé par ces accusations.

Je suis révolté, en plus des trois ans et demi d'enfer, je ne peux accepter une telle trahison. Ces Institutions Représentatives du personnel, n'ont ni foi, ni loi, et aucune éthique !

Incompréhensibles, des élus sensés, vous aidez, joue le double jeu.

Sur 49 conclusions transmises que quelques jours avant l'audience, pour essayer une fois de plus de reporter l'affaire, qui n'ont donc pas été exploités pour ma défense, seuls les arguments à charge se trouvent ci-dessous, avec mes commentaires pour essayer de clarifier la compréhension.

Je tiens à dénoncer "la vindicte" d'une partie de ceux qui ont participé à mon lynchage, et surtout qui se sont retrouvé piégé ici, avec des mails diffamatoires, pour me chasser de l'entreprise. J'ignorais leur participation, non pas des mails de salariés, mais des élus qui constituent 90 % du dossier à charge de l'adversaire, je ne fais qu'un constat. 

L'élu CFDT, Christophe BOSWOUERS, qui m'avait aidé en 2004 en essayant de me faire accepter dans mon nouveau service. Pour cela, j'ai dû faire un mail à mon manager, la Responsable Handicap, le DTR, le Responsable Administration, et à l'élu.

En oubliant volontairement la DRH et mon responsable direct Lhouari DATI qui ne m'avaient pas accueilli et surtout n'avaient rien aménagé pour mon retour, et n'avaient donc pas facilité ma réintégration.

-----Message d'origine-----
De: THERY
Date: lundi 31 mai 2004 23:55
À: emmanuel.picton@fr.sfr.com
Cc: Valérie.romain@fr.sfr.com; Vincent.baumier@fr.sfr.com; Yves.pommier@fr.sfr.com; christophe.boshouwers@fr.sfr.com
Objet: L'indifférence est source de souffrance

L'élu CFDT, Christophe BOSWOUERS me proposa d'envoyer mon mail à d'autres interlocuteurs pour que mon dossier trouve une solution, car le DTR, Vincent BAUMIER ne ferait rien sans la pression hiérarchique.

Un extrait :

 

Capture2 Boshouwers 31-05-2004

 

Après ces incidents de reprise,  l'élu CFDT, Christophe BOSWOUERS, quelques mois plus tard, aurait lâché le mot " psychologique", repris ensuite par tous les acteurs.                        

 

 

Capture3 Sur le matériel mis à disposition

 

Capture6 Boshouwerspsy 

J'ai demandé à cet élu CFDT, Christophe BOSWOUERS, par lettre recommandée, des explications au sujet de ses propos à la direction, qui se seraient tenu entre 2004 débuts octobre 2005. Celui-ci n'a pas daigné me répondre, et n'a donc pas démenti. Je trouve son silence incompréhensible, puisqu'il a quitté cette société. Il préférait me laisser accuser alors que je lui ai fait confiance pendant deux ans, pour essayer de régler des problèmes matériels.

Les problèmes évoqués avec celui-ci à partir de 2005 concernaient mes outils, et en particulier mais PC (il n'est jamais venu constater sur place, il s'en est tenu aux affirmations de la DRH).

Pourtant, il avait une réelle compétence en informatique, et mon problème était visible, qui aurait pu être réglé dans la journée.

C'est à partir de ce mot magique, "état psychologique" qu'un dossier a été monté, avec le DTR, la DRH, et la secrétaire du CHSCT.

Nota : à sa décharge, celui-ci a subi de fortes pressions pour quitter SFR, et a enterré mon dossier, début octobre 2005, il en a été de même pour le second élu.

J'avais fait appel à l'élu CGT, Nicolas de Brabant, fin mai 2006, pour essayer de changer de service et d'emploi. Six postes venaient d'être créés dans mon ancien service, je voulais postuler pour l'un d'eux.

Les Conclusions m'ont appris qu'en parallèle avec ma recherche d'emploi,  l'élu CGT et la Chargée d'études handicap, en liaison avec la DRH avaient participé à un montage, mettant tous en avant le mot psychologique pour essayer de me discréditer et mieux me marginaliser.

Le 30 juin 2006, j'avais appelé l'élu CGT, Nicolas De Brabant, qui suivait mon dossier, une conversation téléphonique d'une demi-heure environ, s'en est suivi. Une conversation franche et sans détour. Il m'avait annoncé, qu'il me négociait un "Départ Volontaire", que j'ai à nouveau refusé. Ensuite, il m'a affirmé, "je vais mettre la pression pour que tu quittes ce bureau". Qu'il envoyait les mails en copie à tous les élus, qu'il allait écrire à PALFI", je m'oppose à ce que Claude revienne dans son service".

Ce nouveau poste était la suite logique de mon précédent emploi, il n'avait rien de physique et était comme l'ancien adapté à mon état, qui avait été refusé en moins de deux minutes en avril 2006, par le DTR* Monsieur Christophe PALFI, "non ce poste ne sera pas aménagé !"

Cet élu m'avait donc rassuré. 

Le vendredi 07 juillet 2006, la DRH notait dans son mail ci-dessous, du 11 juillet :

 

Capture7 L Aobadia & KONFORTI

 

 

Le 11 juillet 2006 16h 25, mail de la DRH, Christine AOBADIA, au DTR* Christophe PALFI. 

 

Capture8 piece 33

 

Nota : il faut savoir qu'en avril 2006, j'avais refusé un "Départ Volontaire (forcé)", après avoir dénoncé mes conditions de travail à la Direction Générale, pour la seconde fois, un mail similaire évoquant ma mauvaise intégration avait été envoyé, le 31 mai 2004, et cette direction lyonnaise n'a pas du tout apprécié.

C'est mon Dossier Médical que j'avais pu récupérer en juin 2009, qui m'a livré la source.

En effet cette DRH, Christine AOBADIA, m'avait envoyé à la médecine du travail, le 20 février 2006, pour me faire psychanalyser, avec comme support, mon rapport envoyé à la Direction Générale, dénonçant mes conditions de travail. En réponse, la Direction de Lyon m'avait proposé un Départ Volontaire, "tu seras plus heureux chez toi". Mon rapport de décembre 2005, qui décrivait mes conditions de travail, Pièce n° 26.

La DRH, a-t-elle le droit de demander un bilan psychiatrique sur un de ses employés, à la médecine du travail, payé par celle-ci ?

 J'ai retrouvé cette annotation dans mon dossier médical "Entretient de 2h avec le salarié, suite aux courriers (joints) de la RH et de la direction, inquiets de son état psychologique". Et pas de conclusions médicales en annotations. J'en étais ressorti Apte.

Capture9 Fanget psyco

 

Nota : dans une synthèse de mon dossier médical, envoyé au Docteur Ph. DAVEZIES, qui m'a reçu en consultation, celui-ci avait une autre explication, un extrait :  

Capture9

 

03 août 2006 14h 50, premier mail de l'élu CGT Nicolas De Brabant, qui a secondé l'élu CFDT, qui s'adresse à l'ensemble du CHSCT, et la Chargée d'études  mission handicap.

 

Capture10 piece 35, Nicolas 

Dans cette seconde partie  "Il y a un problème psychologique chez Claude", "Claude est en arrêt-maladie depuis deux mois pour dépression" : non, rectifie pour tension artérielle élevée !

 

Capture11 Cliniquement je découvre

 

Je pensais que cet élu avait une éthique, ancien de France Télécom, ces propos dans ce mail m'ont profondément choqué. j'ai peine à croire du ton employé dans ce mail et que ces mots infamants proviennent de celui-ci.

Je n'avais aucune raison d'en vouloir à mes collègues, ils n'y sont pour rien, tout simplement il ne connaissait pas mes problèmes. Nous ne faisions pas tous la même tâche. Par contre, mes managers ont été déclassés et sont devenus mes "collègues", le différend se portait sur l'un d'eux.

03 août 2006 16h 04, second mail de l'élu CGT, une heure plus tard, qui s'adresse à la DRH, copie au DTR, son collègue CGT, et la Chargée d'études  mission handicap.

 

Capture12 piece 34, Nicolas

 

Il indique le rendez-vous avec la DRH, fin juin 2006, la DRH signale ce même rendez-vous, le vendredi 07 juillet 2006.

 

Capture13 piece 34, extrait nicolas

 

Le 03 août 2006 17h 03, mail de la secrétaire du CHSCT, envoyé au DTR

 

Capture14 piece 36, papillon

 

Moins de 2h 15 plus tard elle avait une information importante à communiquer au DTR, j'étais porteur d'une maladie "sans guérison possible".

Une première que l'on ne peut trouver que chez SFR, la secrétaire me condamné, la Direction trouvait cela normal, et n'avait pas réagi.

 Tenir une telle allégation, de la part d'une secrétaire du CHSCT, SFR Centre-Est, est inconcevable pour une grande société.

Madame Hélène PAPILLON aurait contacté son médecin traitant, me décrire et avoir l'expertise de ce médecin traitant en direct, qui ne m'avez jamais vu et entendu.

Nota : madame Hélène PAPILLON, ancienne secrétaire de Direction, très autoritaire, qui avait été précédemment débarquée pour "incompétence" par son nouveau DTR Vincent BAUMIER, en 2002-2003, un motif comme un autre mais plus précisément pour s'en séparer comme moi. Au même moment mon poste avait été supprimé. Elle aussi s'est retrouvée avec de jeunes secrétaires. Pendant deux ans elle s'était retrouvée complètement déstabilisée, mais a su se révolter.

Elle s'est raccrochée aux branches en étant accueillie dans un syndicat, ensuite elle a été élue secrétaire du CHSCT.

Pourquoi avoir parlé de mon prétendu "problème psychologique" à son médecin traitant, au lieu d'en parler à la médecine du travail, qu'elle était ça réelle mission ?

S'il suffisait d'une telle expertise, on pourrait faire enfermer tous les salariés récalcitrants. Une expertise par téléphone à son médecin traitant, donc un généraliste. On s'aperçoit que cette secrétaire du CHSCT détient un rôle important, mais manquait cruellement d'expérience et de compétence pour prendre en charge ce poste.

Une expertise pour le genre de pathologie qu'elle décrit devrait être confiée à un véritable expert en la matière qui va examiner sur toutes les coutures le patient qu'il aura reçu dans son Cabinet. En passant un certain temps avec celui-ci avant de prendre une décision. Décision grave, qui pourrait exclure le salarié de l'entreprise ou le prendre en charge afin de remédier à cet état de fait, et d'améliorer grandement ses conditions de travail.

Cette secrétaire égarée, qui avait confondu son ancien poste de Direction, avec le poste de secrétaire du CHSCT, et qui s'est investie corps et âme, pour regagner des galons.

Cette secrétaire de Direction n'avait pas pour vocation de défendre l'intérêt des salariés, mais de reconquérir son ancien poste. Elle avait toujours travaillé dans la confidence avec la direction, et surtout avec la DRH qui était toujours la même, alors que les DTR, restaient à leur poste environ deux ans. Il y avait là, confusion de rôle. J'ai souvent entendu à la machine à café", qu'en réunion, elle faisait les questions et les réponses". Cette secrétaire était instrumentalisée et corrompue par la direction.

Elle a profité de la forte notoriété du CHSCT, en le détournant à son profit, pour envoyer ses mails condamnables.

Second mail de la secrétaire du CHSCT, au DTR, est copie à mon responsable, ou N+1. 

Capture15 Ainsi il ressort page 16

Le 04 août 2006 15h 57, malgré tout, dans ce mail, la secrétaire aura tout tenté, auprès de mes collègues pour essayer de me faire licencier pour harcèlement, contrairement à ce qui est écrit, ci-dessus :

 

Capture16 piece 37, papillon

 

 

Je remercie ici mes anciens collègues de ne pas avoir suivi cette "Brebis égarée", dans son délire.

Le 07 août 2006, une nouvelle conversation téléphonique d'une demi-heure environ, avec l'élu CGT, pour m'annoncer cette fois-ci qu'il n'avait rien obtenu. Qu'il était en réelle opposition avec la direction. Qu'il envisageait de quitter SFR. Il m'avait annoncé qu'il partait en congé et qu'il rentrait le 28 août 2006.

Le 07 août 2006, devant l'échec de Nicolas de Brabant, j'ai eu un entretien téléphonique avec la Chargée d'études .

Le 07 août 2006 13h 18, la Chargée d'études , Lydie KONFORTI, envoyait officiellement à tous ces acteurs ce que nous avions convenu pour un futur changement de poste. On devait se rencontrer, avec l'élu CGT, Nicolas De Brabant, le 30 août 2006, pour faire le point : 

Capture17 piece 39, aobadia

 

Je suis donc revenu à mi-temps thérapeutique à mon poste de travail, rien n'avait effectivement changé entre-temps.

Le 11 août 2006, ma visite médicale de reprise, le Médecin du travail :

 

Capture18, Avis 11-08-2006

 

Avis : Apte à la reprise à son poste à mi-temps thérapeutique pendant trois mois, en évitant le stress et en respectant le calme (sous suivi médical) sera revu à l'issue du mi temps.

En plus, il avait rédigé un courrier à mon médecin traitant en expliquant le pourquoi : "afin de lui permettre une reprise à son nouveau poste plus sereinement, et qui lui permettra d'assurer ses séances de rééducation" (...)

Ici, le Conseil de SFR rappelle le rôle important du CHSCT, dans cet exemple pour le stress. La secrétaire du CHSCT, Hélène PAPILLON, était à cent mil lieux d'amener des propositions concrètes. Elle a au contraire, tout bonnement accompagnée la direction dans sa campagne de déstabilisation, et, de ce fait, amplifié le risque.

Nota: cette secrétaire du CHSCT ne m'a jamais questionné sur mes conditions de travail, comme elle a pu le faire apparemment avec mes collègues.

Donc pour récapituler, la DRH qui a ouvert le bal avec les propos oraux de l'élu CFDT, Christophe BOSHOUWERS, sur un problème psychologique, à essayer d'influencer la médecine du travail. Aidée ensuite par les mails de l'élu CGT, Nicolas De Brabant, en informant les Représentants du Personnel. Tous tiennent des propos incisifs à mon égard et semblent tous aller dans la même direction. Mon état psychologique dégénérait en démence.

On ne trouve aucune conclusion à ce déballage de bas étage :

Il n'y a pas trace du rapport de la tenue de la très prochaine réunion extraordinaire, avec la présence de la médecine du travail.

Entre-Temps nous avions déménagé à l'Est de Lyon, et apparemment la médecine du travail, principale intéressée, n'était pas consciente de mon état psychologique, et surtout la secrétaire du CHSCT ne l'avait pas informé.

Ni de la Commission de reclassement qui devait être organisée début septembre 2006, (mail ci-dessus du 11 juillet 2006, de la DRH).

Ni de bureau pour me mettre en isolement.

Des mails, un semblant de correspondances, les 03 et 04 août, sans suite.  

Tout repose d'un côté du "on-dit" d'un élu CFDT, et de l'autre d'un mail douteux de l'élu CGT.

Ma situation ne c'est pas améliorée. Par contre, j'étais de plus en plus mal à l'aise dans une ambiance que je n'avais jamais connue auparavant dans mes précédents emplois, ou dans mon poste précédent. J'avais toujours l'impression d'être un étranger, de ne pas être compris. De plus j'avais l'impression d'être incarcéré, de ne plus avoir de liberté, surveiller, et entrain de purger une peine.

Je pensais que les Représentants du personnel devaient être intègrent, que l'on pouvait se Confier et qu'il y avait une certaine Confidentialité, avaient une certaine Moralité, apparemment à Centre-Est, l'Exemplarité n'était pas de mise.

Le 30 août 2006, lors de notre réunion, Conclusion N° 39, j'avais postulé une nouvelle fois avec l'aide de l'élu CGT, Nicolas De Brabant, et de la Chargée d'Étude, Lydie KONFORTI, avec CV, lettre de motivation, et disponible pour passer un Bilan de Compétence.

Je n'ai jamais eu de suite, de cet entretien.

Ils m'ont tous trahi, Monsieur De Brabant, CGT (rouge) se permettait de critiquer ses collègues cégétistes, qui ne faisaient rien pour les salariés. Ce jeune élu m’avait vraiment séduit, j’avais vraiment confiance en lui, (mais je ne le connaissais pas spécialement), tout paraissait sincère en lui. Il me faisait régulièrement des rapports téléphoniques (jamais de mail), ce qui m’avait surpris, ç’a été surtout le jour où il m’apprit qu’il me négociait un départ sans mon consentement.

Si je n'avais pas vu son mail du 03 août 2006, envoyé au CHSCT, avec des propos que je trouve odieux, repris ensuite par la secrétaire du CHSCT. Jamais je n'aurai douté de son intégrité, tellement il semblait sincère.

Ignoble de m'avoir trouvé une pathologie imaginaire, sans apporter la moindre preuve, aucun élément objectif. Surtout en détournant le rôle des Institutions Représentatives du personnel à des fins personnelles, pour aider la Direction  à mieux  pousser un senior vers la porte.

Il était pourtant simple pour le CHSCT de faire procéder à une enquête par un  vrai expert, et non par la déclaration farfelue de la secrétaire du CHSCT, qui est plutôt risible de la part d'une grande société.


Avec le recul, il est certain qu’il avait pour mission de me persuader de quitter l’entreprise. Car dans les premiers appels, ils avaient obtenu mon départ de mon service, puis un jour marche arrière. D’après lui le DTR n’était plus favorable, qu’il avait eu des mots avec celui-ci, et qu’il envisageait de quitter l’entreprise. Sa réflexion avait été, « ils marchent tous sur la tête ».

En fait, cet homme, monsieur Nicolas De Brabant, ne pouvait qu'être une vraie TAUPE au service du DTR. Il a rempli son rôle à merveille, combien comme moi ont été trahi par ce jeune délégué syndical CGT, Nicolas De Brabant, corrompu.

SFR apparemment sait récompenser ses bons soldats.

Juste après cette trahison, monsieur Nicolas De Brabant, après un an de formation d’ingénieur de septembre 2006 à septembre 2007 (donc, inscrit bien avant la rentrée de septembre !).

Université des Sciences et Technologies de Lille (Lille I)

Licence professionnelle, Télécommunications et réseaux 2006 - 2007

Premier poste en septembre 2007, aujourd’hui, Nicolas de Brabant, élu CGT, a été propulsé aux Chemins Ferré National SUISSE, CFF.

Son collègue avait suivi le même parcours, un an auparavant, 2005 - 2006.

Monsieur Christophe BOSHOUERS, élu CFDT, avait été propulsé, directement à l'Éducation Nationale, en 2006, comme Ingénieur Informatique.

 

Cette ancienne secrétaire, Hélène PAPILLON, est partie tranquillement en retraite.

Voici un argument qui pourrait départager les plus sceptiques, la secrétaire, elle aussi se savait en danger pour son emploi. Elle avait été démise de sa fonction de secrétaire de direction par le DTR, Vincent BAUMIER, pour se retrouver avec de jeunes assistantes, elle s'est réfugiée dans un syndicat, pour ensuite être élu secrétaire du CHSCT. Elle avait donc des informations confidentielles.

En collaborant, elle se protéger une seconde fois. Nous étions de la même génération mais plus jeune, et avons perdu notre poste au même moment.

Elle voyait les effectifs fondre d'année en année, et surtout pour cet âge fatidique des 55-60 ans, ici en 2008 sur 187 salariés restants sur 10.000. SFR voulait se débarrasser de 44 %, donc c'était un peu le loto pour arriver à la retraite. Idem en 2006, 2007 (...).

A cette époque SFR était en pleine santé financière.

Éligible =, vous êtes désigné pour un Départ Volontaire, j'ai refusé, dans ce cas SFR emploi les grands moyens comme vous pourrez le constater, pour mon cas. Rappelez ci-dessous par l'intersyndicale SFR, en 2012, qui évoque la période 2007.

Voir l'intersyndicale SFR s'agace des propos de Fleur Pellerin ==> http://www.latribune.fr/technos-medias/telecoms/20121212trib000736808/plan-social-de-sfr-l-intersyndicale-s-agace-des-propos-de-fleur-pellerin-.html

Chaque année, il faut rajeunir le troupeau, pour garder cette pyramide des âges.

 

Capture19 Graphique pyramide senior

 

La secrétaire du CHSCT était normalement protégée, mais le risque existait :

SFR n'en était pas à son premier coup d'essai, pour dégraisser à bon compte, tous les moyens étaient bons, les Représentants du personnel doivent aller dans cette direction, sinon ils s'exposent à de grandes difficultés.

Ces pratiques étaient dénoncées par les syndicats, ici un mail au moment de mon licenciement, et d'autres exemples :

 

La CGT alarme SFR

Et quelques temps plus tard une série de suicides en interne a eu lieu, mais gardé secret :

4 SUICIDES

Capture20 syndicat aimé

 

Un mois après mon licenciement, 1900 salariés étaient vendus à un sous traitant, SFR a été condamné pour "Collusion Frauduleuse" par la Cour d'appel de Toulouse, en mars 2012. Là aussi, quelques syndicats ont apparemment fait en sorte que SFR réussisse son Plan de Dégraissage.

Nota : ce blog a été fermé, la blogueuse a été mise en examen en février 2009, suite à quatre plaintes des anciens dirigeants de SFR. La blogueuse a été interrogée au moins quatre fois, pour diffamation ou injures publiques. Apparemment même méthode musclée que l'Affaire BETTENCOURT.

http://www.technopolitain.com/a142/une%20ex-sfr%20convoqu%C3%A9e%20par%20le%20juge

 

SFR, tout syndicat qui lui résiste, mais cette fois face à un récalcitrant, emploi la "force", et demande l'aide de la justice :

 

Capture21 Sud

 

Autre cas, information que l'on trouve sur le net :

http://www.cgt-sfr.fr/spip.php?article83

 

Capture22 syndicat

 

Voir aussi sur le site de MEDIAPART, avec le commentaire de Thierry CHESA, élu CGT.

http://blogs.mediapart.fr/blog/freeday/090714/sfr-le-scandaleux-comportement-des-representants-du-personnel-0

 

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