Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le matériel informatique et les télécoms
Le matériel informatique et les télécoms
Publicité
Archives
Derniers commentaires
13 novembre 2013

SFR, le médiateur avait court-circuité la Mission Handicap, avec l'aide du DTR.

SFR est-il, l'expert, le référent du monde du handicap, comme il le prétend ?

Qui est ce MEDIATEUR :
Benjamin BLAVIER est un homme apparemment très connu dans le monde de la diversité, dont du Handicap (...) et Frank ESSER n'oubliait pas de faire faire régulièrement des encarts sur son protégé, pour le lancer, et pour le faire connaître, qui lui en retour, allait créer une image à SFR. 

Capture1

 

Monsieur, Benjamin BLAVIER, est avant tout un communicant qui veut faire connaître SFR, avec ses valeurs, valeurs à géométrie variable comme on pourra le constater, ces modes de fonctionnement, (...) je veux, moi aussi apporter mon concours, non pas avec des mots, mais avec mon vécu, avec des témoignages,  pour faire connaître SFR de l'intérieur, au public.

05 juillet 2006, Benjamin BLAVIER donnait une interview, en vantant les mérites de SFR, pour en faire une belle image. À mon avis, c'est avant tout un commercial, qui essaie de faire ouvrir des portes à SFR, qui vend du vent, voir la vidéo de 3 minutes.


SFR une entreprise qui fait bouger la France. Une Startup, qui n'est pas fichue de prendre en charge un senior handicapé maison.

http://www.youtube.com/watch?v=9-zozEY1_-E

Difficile de mettre en doute l'intégrité du Médiateur, et des rapports initiés par Benjamin BLAVIER, qui se fait "mousser", par des critiques qui pour moi n'ont pas lieu d'être. Ces rapports ne sont que de la poutre aux yeux, qui a fait la part belle à Frank ESSER, qui a soutenu ce genre de démarches trompeuses, sans aucune moralité. je vais essayer de le démontrer.

  • De plus le médiateur SFR, Benjamin BLAVIER a favorisé cet état de fait, en détournant l'attention vers l'extérieur, à travers les médias.

Avant tout, je voudrais signaler que je travaillais dans un contexte particulier, et qui c'est traduit par la suite, par des suicides, dans les mêmes conditions que chez France Telecom    

 

http://telecominfo.canalblog.com/archives/2014/03/05/29368755.html

 

Le Conseil de SFR m'a reproché de produire des mails, ne reposant sur aucun élément objectif.

Capture1

Ci-dessous 99 % de documents SFR, ou j'ai retrouvé les éléments manquants au puzzle, pour reconstituer le tour de passe de passe, qui m'avait éloigné de mon futur poste.

Avec des éléments objectifs, qui décrivent un enchaînement factuel de la mise à l'écart de la Mission Handicap, surtout de la Chargée d'études, Lydie KONFORTI. Ensuite de la responsable, Agnès BAER, par le DTR Christophe PALFI avec l'intervention singulière du MEDIATEUR SFR, monsieur Benjamin BLAVIER, qui m'a empêché de reprendre une vie professionnelle normale, dans une ambiance saine.

Pourquoi cette discrimination, criante, en novembre 2006, après une communication importante dans les médias, ventant les mérites de SFR ?

 

Capture1

 

 Capture1

 

Activité sur les valeurs de l’entreprise

  • Les valeurs de SFR : Passion, Agilité, Créativité, Ténacité, Engagement.

 

Les valeurs vues par... Pierre Bardon

L'agilitéet la Passion sont dans nos gènes. C'est elles qui ont fait la différence : dans la position du challenger, notre force a été d'être plus rapide, plus malin, de réagir vite et de le faire avec passion.

Les valeurs vues par... Stéphane Roussel

Tout au long de l'année 2006, chacun des métiers s'appropriera et déclinera les valeurs dans son activité. Elles seront ainsi traduites en principes d'actions et guideront nos priorités, nos décisions... A tous les niveaux, chacun doit ainsi être amené à s'interroger sur la façon dont il intègre ces valeurs et les vit au quotidien.

Ci-dessus, l’illustration de la valeur « Passion »

Enfin, lorsqu’on abordera la notion de travail et emploi, on pourra montrer qu’en fonction de la culture d’entreprise, les pratiques sont très variables. Certaines proposent une carrière (c’est le cas de Lafarge, de Vinci ou encore de Saint-Gobain) tandis que d’autres essaient de promouvoir la mobilité interne et externe ou l’essaimage (SFR, France Telecom).

Cette année 2006 avait vu l'apparition d'un CODE d'éthique et d'engagements.

Voici quelques extraits :

 

Capture1
 
Capture1
 
Capture23 Ethique engagements SFR
 
Capture1
 
Capture24 ethique, Objecti promouvoir l'épanouissement
Capture1

 

Août-septembre 2006, SFR préparait un rapport avec Air France, pour servir de référence à toutes les entreprises, et servir de support, conférence au Club ESSEC RH, par exemple, où SFR nourrit le débat en distillant de belles paroles, à l'aide de sa grande expérience.

 

Nota : Quand je suis tombé sur ce rapport, j'ai été écœuré par cette hypocrisie, sans limites ! 

Capture2 Perception & Handicap
 

Avec le concours de quatre personnages-clés :

Monsieur Frank ESSER Directeur Général, monsieur Stéphane ROUSSEL Directeur des Ressources Humaines, monsieur Benjamin BLAVIER Directeur Responsabilité et Innovation Sociale SFR, et la responsable Handicap Agnès BAER.

Monsieur Benjamin BLAVIER est à l'origine du projet pour SFR.

Des extraits très élogieux, porter à bout de bras, par ces différents Responsables :

Agnès BAER qui avait, elle aussi participé à la rédaction de ce rapport, quelques extraits :

 

Capture3

 

Capture5 Une intégration réussie
 
Capture6 Ce travail de fond 

Suivi du Directeur des Ressources Humaines, Stéphane ROUSSEL

 

Capture7 Annexe 2

 

Capture8 Il tient compte

Et de son Président Directeur Général, Frank ESSER. 

Capture9 Cette dimension
 

Il relève :"la responsabilité du dirigeant s'exprime à double titre :"

  

Capture10 De ce point

 
Capture11 De l'aveu

SFR dévoile aux entreprises, tous ses secrets pour bien intégrer les handicapés.

01. Entreprises et Handicap : des pratiques en question

Que vous retrouverez en intégralité, sur une trentaine de pages, mais pour 10 € :
http://aides-techniques.handicap.fr/prd-librairie-handicap-244-2121.php


La responsable handicap, Agnès BAER, rappelle ici, l'enjeu de la loi du 11 février 2005.

 

Capture12 Guide Handicap (loi 11022005)
 

SFR avec sa grande expertise est dans tous les groupes de travail, est très écouté, ici avec l'AFNOR.

 

Capture13 Fin 2006 Thalés 

Et grâce à L’AFNOR, et ses tours de table, SFR obtient le « Label Diversité » | SFR

Capture51 L'AFNOR vient d'attribuer

 

http://www.cgt-sfr.fr/spip.php?article85

Remise du Label diversité : La CGT n’a pas participé !


Que penser de ces rapports, de ce Label diversité, et de la probité de ces personnages.

Pour avoir un début de réponse, intéressons nous à cette conclusion élogieuse, sur la Perception & Handicap, par Frank ESSER, Stéphane ROUSSEL, et Agnès BAER.

  • A première vue, pas de doute, SFR, semble s'impliquer à fond pour le monde de la diversité, et du handicap en particulier.
  • Ce geste est très louable, mais manque de sincérité dans les faits.
  • SFR a payer ce rapport, effectué sur des cas précis.
  • Des conclusions faites par des promoteurs de grands talents, avec des mots forts et percutants.

 

Capture14 SFR a fait de ce

Maintenant, voyons comment ces acteurs, après ce travail de fond, vont concrètement régler mon problème, en interne cette fois, moi senior-handicapé-maison, en appliquant les solutions commentées par chacun, à l'intérieur de ce rapport.

SFR joint-il la parole aux actes, voici un cas d'école :

Mon Accident du Travail est intervenu en mission, je suis donc un jeune handicapé, fait maison lors d'un service commandé, moi c'est le destin qui m'a choisi en cours de carrière.

Donc au même moment, que ces rapports, avec les mêmes personnages sur un cas concret, monsieur Benjamin BLAVIER, Directeur Responsabilité et Innovation Sociale SFR, et la responsable handicap, Agnès BAER, ont été appelés pour expertise à la demande du DTR*, pour essayer de me faire évoluer dans l'entreprise.

*DTR :Directeur Technique Régional

Je rappelle une fois de plus le contexte :

Embauché en juillet 1998, accident du travail, en mission le 16 mai 2001. Sans prendre en compte la Mission Handicap, et la médecine du travail, mon poste avait été supprimé, le 18 avril 2003.

A cette époque, la Mission Handicap n'avait pas été sollicitée, le DTR a préféré régler le problème avec ses acolytes.

Capture16 M Thery avait

 

Moi je voulais reprendre mon poste, comment pouvait-il connaître mon état de santé ?

À leur avis j'étais déjà handicapé puisque "compte tenu de l'état de santé"

Le DTR, Vincent BAUMIER, se justifiait par mail, le 17 juin 2004.

Je n'étais ni charpentier, ni couvreur.

 

Capture18 il existe des équipements

 


Revenons à 2006.

Les faits :

Six postes venaient d'être créés dans mon ancien service, ils correspondaient à mon parcours professionnel, et ils étaient la suite logique de mon précédent emploi, avant l'accident.

Le 04 avril 2006, suite à une entrevue avec la DRH, et le DTR, qui me proposait lui un Départ Volontaire, et de me voir quitter l'entreprise, j'ai refusé.

J'avais voulu postuler officiellement, pour un de ces six postes, refus immédiat, ce poste ne sera pas aménagé.

Je voulais quitter le service dans lequel on m'avait fait travailler bêtement, pendant plus de deux ans et demi. Sans possibilités d'évolution.


Fin mai 2006, j'avais donc fait appel à la Mission Handicap, et un élu CGT pour m'accompagner dans cette démarche.

Mes conditions de travail se détérioraient de mois en mois, jusqu'à l'arrêt-maladie du 02 juin 2006, suite à une visite médicale du Travail.

Début juin 2006, j'avais été arrêté sur les conseils de la Médecine du travail par mon Médecin traitant, avec reprise, le 22 novembre 2006. Arrêt dû à mes conditions de travail,.

Dans mon dossier médical, j'ai trouvé entre autres cette mention.       

 

Capture20

 

Voici l'enchaînement factuel des actions entreprises de part et d'autre pour essayer de me "trouver une solution" et de garder en tête "conditions optimales".

Capture21 piece 39

Le 07 août 2006, la Chargée d'études, Lydie KONFORTI, envoyait à tous ces acteurs, ce que nous avions convenu pour un futur changement de poste. On devait se rencontrer, avec l'élu CGT, Nicolas De Brabant, le 30 août 2006, pour faire le point :

 

Capture22 piece 39

 Le médecin du Travail avait été informé :

En arrêt-maladie depuis le 2 juin 2006, ma visite de reprise le 11 août 2006. J'ai été mis en mi-thérapeutique d'en l'attente du nouveau poste.

 

Capture22

 

 Un courrier avait été remis à mon médecin traitant : "afin de lui permettre une reprise à son nouveau poste plus sereinement"

 

Capture22

Le 30 août 2006, lors de notre réunion, Conclusion N° 39, j'avais postulé une nouvelle fois avec l'aide de l'élu CGT, Nicolas De Brabant, et de la Chargée d'études, Lydie KONFORTI, avec CV, lettre de motivation, et disponible pour passer un Bilan de compétence.

Je n'ai jamais eu de suite, de cet entretien.

  • Les Conclusions de SFR sont venues m'éclairer, par la suite.


Le 27 septembre 2006, à cette époque j'étais en mi-temps thérapeutique, pour hypertension, dû à mes conditions de travail. Je reçois ce mail de mon responsable, sans entretien au préalable, pour me changer d'affectation de poste, pour venir en aide à mes deux anciens managers.

 

Capture23 Poste Laviolette

 

En total contradiction avec les Conclusions remises aux Prud'hommes de Lyon, de l'élu CGT, de la DRH, de la Chargée d'études, et de la secrétaire du CHSCT.

Un résumé des alertes lancées, en août 2006, "qui préconisait un bureau isolé" :

 

Capture24 En outre, 

Tout a démarré, par des propos rapportés, avec l'apparition du mot 'psychologique", sans précision dans le temps, mais je peux apporter une date, monsieur Boshouwers, a laissé tomber mon dossier aux environs de début octobre 2005, après m'avoir rendu visite, chez moi. 

 
Capture25 ainsi que lui a dit

Est-ce le rôle de l'élu CFDT de me dire, en caricaturant : "tu délires, il faut te faire soigner". Je n'ai pas pu refuser, car la question ne m'a jamais été posée.

Il est important de regarder la date et l'heure des mails.

La DRH, 11 juillet 2006 16h 25, pièce N°33.

Les 2 : Nicolas De Brabant et Lydie KONFORTI. (ici, je doit quitter le bureau pour préserver mes collègues ).    

Capture25 Les 2 te demande

L'élu CGT, Nicolas De Brabant, à l'ensemble du CHSCT, pièce n°35.

Le jeudi 03 août 2006 14h 50

Il signale :forte pression de travail (ici je dois partir pour la pression du travail, il avait raison). 

Capture26 Au mois de juin j'ai 

La secrétaire du CHSCT, qui confiait au DTR, le jeudi 03 août 2006 17h 03, pièce n°36.

Environ deux heures plus tard qu'elle détenait déjà une information essentielle, "sans guérison possible", selon les dires de son Médecin traitant, un généraliste.  Comment peut-on faire une expertise à distance.

Elle était basée à St Priest dans l'Est de Lyon est son médecin traitant dans l'Ouest de Lyon, donc, elle aurait contacté son médecin traitant par téléphone. Comment a-t-elle décrit mes symptômes pour qu'il puisse tirer une conclusion aussi tranchée sans voir le patient, qui allait mettre en péril ma vie professionnelle.

De l'accident du 16 mai 2001 à juillet 2004, j'avais consulté des dizaines d'interlocuteurs pour mes soins réguliers. Dont trois contre-expertises avec deux médecins spécialisés, sans compter les visites médicales, et la consultation auprès du docteur Philippe DAVEZIES chercheur en médecine et santé au travail, sans qu'aucun ne fasse allusion à un comportement anormal, ou de maladie incurable, mais de quoi parle cette secrétaire du CHSCT.

"Du Zola dans GERMINAL", un fonctionnement du CHSCT, hors normes que l'on ne peut trouver que chez SFR. 

Capture27 n'a pu trouver de solution

Incroyable, le DTR, Christophe PALFI, n'avait pas pris en compte ces alertes, mettant en danger mes collègues. Ce qui démontre le peu de sérieux de ces prétendues alertes et que ces mails ne sont qu'un pur montage. Car, si cela s'était avéré, je mettais en péril la vie de mon service, en créant une forte tension. Je resterai malgré tout à mon poste, pour effectuer un autre travail.

Quinze jours plus tard, surprise, l'homme providentiel, l'homme expert en la matière, le médiateur, Benjamin BLAVIER, venait me rendre visite, avec la responsable handicap.

Rassurez-vous, ce monsieur, je ne le connaissais pas, et j'ignorais qu'il était Médiateur, j'ai découvert SFR, avec ses accords et autres à travers l'Internet après mon licenciement. 

Capture28 RdV Blavier 

Ce 23 novembre 2006, je m'étais fait accompagner pour cette entrevue, par un élu CGT, Thierry CHESA, signataire de l'accord handicap 2002. Monsieur De Brabant avait abandonné mon dossier. J'ai été surpris que la Chargée d'études qui avait suivi, elle aussi mon dossier ne soit pas présente.

Monsieur, Benjamin BLAVIER, était venu tout simplement m’imposer le poste, désigné par mon responsable un mois auparavant.

Poste pour travailler de concert avec mes deux anciens managers, sans aborder le poste auquel j’avais postulé, le 30 août 2006, avec la participation de Lydie KONFORTI, et Nicolas De BRABANT.

Sans aborder le problème psychologique, un point aurait dû être soulevé en présence de tous les interlocuteurs. Ce qui prouve une fois de plus que tous ces mails ne sont qu'un montage.


Il n'y avait pas d'autres alternatives.

La Responsable pensait que le problème de barrette mémoire était résolu, car elle avait vu passer la facture.

Particularité, au lieu de le tenir informé, le Médiateur, en insistant, m'a demandé de ne plus faire de courrier, il n'en voyait pas l'utilité. Il fallait donc à partir de maintenant me taire.

Et voici le fond de l'histoire, révélé, le 08 juin 2012, par les Conclusions de SFR.

                                                                                   Pièce N° 42 

Capture29 La mission handicap se rendait 

Or, contrairement à ce qui est indiqué par SFR, cette pièce N° 42 est totalement ironique et contradictoire avec les pièces précédentes, démontre le peu de sérieux, et les allégations fournies tout au long de ces Conclusions.

Je dirai que la responsable handicap, Agnès BAER,  venait s'informer des souhaits de monsieur PALFI, pour me les transmettent.

La suite est très subtile, qu'il faut parcourir avec attention, car cette pièce N°42 a une place capitale dans ce dossier, et la plus intéressante. SFR  m'a fourni les preuves, que la DRH et le DTR  m'avaient manipulées.

En effet, pièce N°40, le comble, la DRH, Christine AOBADIA, et le DTR, Christophe PALFI n'avait pas reçu mon dossier pour postuler, qui devait être transmis par la Chargée d'études, Lydie KONFORTI, prise de conscience tardive, une semaine avant le rendez-vous.

 

Capture30 piece 40

Alors que je devais remettre mon travail de recherche, à la Chargée d'études, en vue "d'une réintégration de manière sereine et constructive", au sein de St Priest, et non de mon service, ce qui fut fait, pièce n° 39 

Capture31 Ce travail de recherche 

Pièce N° 41 choquante, mais révélatrice, la veille de l'entrevue "nous n'avons pas eu de réponse particulière à ce sujet avec Lydie" .

Preuve que mon dossier n'avait donc pas pu être consulté.

  • La responsable Handicap Agnès BAER n'avait eu aucun contact avec sa Chargée d'études, qui devait m'aider à postuler, depuis le 30 août 2006, étrange ! 
Capture32 En revanche, il semble

Cette responsable n'avait pas l'air de traiter ce rendez-vous avec sérieux, mais semble fort étonnée.

  • Pourtant, la Responsable Handicap avait fait des commentaires élogieux, deux mois auparavant, approuvés par son responsable Benjamin BLAVIER, et monsieur Frank ESSER, pour retrouver ensuite ce rapport en vente en ligne.
  • Ce rappel à la loi du 11 février 2005, qu'elle trouvait très important, croit-elle un instant ce qu'elle écrit !
  • Elle avait beaucoup appris, sur le fond, mais vite oublié !
  • Est-il possible de faire faire une étude orientée, et  payer par SFR pour ensuite le mettre en ligne pour servir de référence. Au même moment SFR, transgresse ses règles pour essayer de démotiver un handicapé pour le faire partir. Et le comble par ceux qui ont initié ce rapport, cela est intolérable.
Capture33 Ce travail de fond, piece 41

Les Conclusions de SFR, N° 40 et 41 démontrent que la recherche de poste, la pièce N° 39 n'a jamais été mise en œuvre, j'avais postulé au poste de Chargé d'Audit à la maintenance (terrain), et non à l'administration (sédentaire). Travail complètement différent.

  • Le médiateur, et la Mission handicap, étaient venus non pas pour faire appliquer les Accords handicap, mais pour me contraindre à prendre le poste que mon responsable sans concertation m'avait imposé.

Nota : aucun compte rendu, et aucune suite n'avait été donnée, après cette entrevue.

Il devait exister un grand dysfonctionnement entre les services, il est impensable que Lydie KONFORTI, la Chargée d'études handicap n'ait pas remis ma candidature à la DRH, et qu'elle n'en ait pas parlé à sa responsable Agnès BAER.

Ce ne serait pas étonnant, en consultant les comptes rendus de réunion du 25 octobre 2006, et du 06 avril 2007, on peut s'apercevoir que le handicap et vraiment placé au second plan, malgré le faible taux d'embauche, aux alentours de 1.5 % contre 6 % prévus par la loi, cela depuis 2003.

Voir au chapitre 6  SFR, et le monde du handicap en interne

Le 15 février 2007, dans un mail envoyé à frank ESSER, à Benjamin BLAVIER et à plus de 300 salariés, j'exprimais mon opinion, à ce sujet :

 

Capture34 La Mission handicap, le Médiateur

 

  • On a l'impression qu'il existe une cellule qui diffuse à longueur d'année dans les médias de la propagande pour endormir les plus sceptiques. Sans lien avec les acteurs et la réalité du terrain.
Capture35 SFR, une entreprise

 

Capture35-1 Ceci démontre que 

Bien après cette visite, j'ai appelé la Chargée d'études, Lydie KONFORTI, pour lui faire un compte rendu de cet entretien, de mon étonnement, et que rien ne semblait bouger.

Le mail, pièce n°42, nous éclaire, pour la suite.

Mail de la Chargée d'études handicap, à la DRH, court-circuitée celle-ci veut clore au plus vite le dossier.

Maintenant, il est intéressant de décrypter cet échange de mails, dans la pièce n°42, du 11 décembre au 20 décembre 2006, pour ce faire sa vraie opinion.

J'ai remis les mails dans l'ordre, sinon difficile de les interpréter, toujours avec des commentaires pour mieux définir le rôle joué par chacun.

La Chargée d'études voulait à tout prix terminer sa mission, et défendre ce qui semblait encore être défendable. Elle nous permet de rentrer dans les coulisses, au cœur des décisions stratégiques du vétéran du handicap.

Elle a été court-circuitée, et ce mail le confirme "puisque les décisions ont déjà été prises par Benjamin BLAVIER, et Christophe PALFI". 

Capture36 Lydie Konforti (1) 

Lydie KONFORTI, malgré les accusations que l'on veut lui imputer, pièce N° 33, essaie de me défendre vaillamment.

Dans ce mail, on trouve la question de Lydie KONFORTI : suivie d'une réponse du DTR.

 

Capture37 Il manque toujours 

Mail de la Chargée d'études handicap, à la DRH, Christine AOBADIA, copie à la responsable handicap, Agnès BAER.

Ce mail n'est pas apparemment pas assez explicite avec des réponses trop brèves. 

Capture38 Lydie Konforti (2) 

Un dialogue de sourds s'est ensuivi, la DRH Christine AOBADIA met en copie le médiateur Benjamin BLAVIER, et le DTR Christophe PALFI : 

Capture39 Aobadia (3)

La Chargée d'études insiste et reprécise chaque point, à tous ces acteurs : 

Capture40 Lydie Konforti 19-03-23-2006

Ici, monsieur Christophe PALFI, semble obliger d'intervenir pour éclaircir cet imbroglio, en prenant à témoin un acteur supplémentaire JULIEN karine (*). Il confirme que l'activité s'inscrit en continuité (...). Il nous confirme donc implicitement, que c'est bien lui qui m'a contraint à ce poste, et non sur étude et préconisation de la Mission Handicap. Nous avons donc la certitude que l'on n'a pas tenu compte du rendez-vous du 30 août 2006, avec la Chargée d'études.

(*) sur Internet : Directeur Ressource Humaines, SFR ?

Ici, la responsable handicap devant ses responsables, c'est effacer, et n'intervient pas.

Ainsi, elle ne pouvait pas suivre ses préconisations, pourtant importantes, qu'elle voudrait faire inculquer au monde entier. De plus elle ne pouvez pas faire appliquer les accords handicaps, 2003 et 2006, son responsable, et MEDIATEUR, Benjamin BLAVIER, l'ayant pris de vitesse pour régler mon problème. 

Capture41 Une intégration réussie

Ce qui prouve que la Mission Handicap a été court-circuitée, par le Médiateur et le DTR.

Monsieur, Benjamin BLAVIER, a transgresser ses valeurs, en faisant une rupture avec la diversité, et les accords handicaps en accompagnant monsieur Christophe PALFI dans son "funeste" projet, celui de me faire partir. Qui vient dans la suite logique des mails me concernant, en août 2006.

En agissant ainsi, il me privait une fois de plus d'évoluer et de m'épanouir, il me condamné.

Après ce dérapage, comment peut-il être crédible, il est en totale contradiction avec sa campagne de communication 2006, initié moins de 4 mois auparavant.

 Avec son interview du 5 juillet 2006, " Benjamin BLAVIER - SFR - Une entreprise qui fait bouger la France", son travail sur l'égalité des chances, de diversité, du handicap,(...) de faire connaître les valeurs de SFR, et de ses collaborateurs". Il est en totale contradiction avec son rapport Perception & handicap, d'août-septembre 2006.

C'est pourtant après cette véritable stratégie de communication qu'il pouvait se faire connaître, et se faire ouvrir des portes.

Combien de bavures de ce genre, nul ne le saura.

Et c'est ce jeune DTR, Christophe PALFI qui impose son point de vue, lui il parle dans l'objectif de faire faire des économies, au service qu'il dirige, le côté humain est secondaire. 

Capture42 Palfi (5) 

Donc, le travail avec mes nouveaux collègues, Chargé d'Audit, n'était une fois de plus que les reliquats de leur fonction.

"Il n'en a d'ailleurs jamais été question", donc, il confirme que la Mission Handicap n'avait pas pu le suggérer. Demande initiale, du 04 avril 2006 lors de l'entrevue avec celui-ci et la DRH, pièce n°30.

Ici comme je le rappelle en introduction, c'est bien le DTR, Christophe PALFI, comme pour le premier poste qui prend seule la décision, et non le Comité de reclassement, stipulé dans les Accords Handicap, 2002, et 2006. 

Capture43 piece 30
 
Capture44 Le sujet de l'informatique 

Je n'ai jamais indiqué que cela était réglé, puisque le problème était récurrent, avec toujours un temps de retard de plusieurs mois par rapport à mes collègues. Problème que l'on a toujours entretenu, et qui m'a empoisonné la vie. Il y avait constamment des hauts et des bas, un changement à l'horizon, puis plus rien, etc ...

Voir chapitre 2 SFR, le DTR, tentait de m'épuiser à l'aide de vieux PC, pour me faire partir.

Si la Mission Handicap et le médiateur remplissaient vraiment leurs rôles, comme indiqués dans les encarts publicitaires ces problèmes n'existeraient pas, et j'aurais pu finir ma carrière normalement et sortir par la grande porte.

Après les Institutions Représentatives du Personnel, c'était autour du médiateur de me trahir, en court-circuitant la Mission Handicap.

Voyant, dès les premiers instants où ils voulaient en venir, j'avais accepté pour mettre fin à un dialogue de sourds et montrer ma bonne volonté. J'avais vite compris à ce moment-là, que je n'avais plus aucun espoir de pouvoir sortir de cette "prison".

Confirmé ci-dessous par ce DTR, j'avais donc bien fait d'accepter. 

Capture45 position de la Direction 

Ici je ne comprends pas le ton employé, apparemment un handicapé dans son service le mettait hors de lui, j'étais le seul sur St Priest, sur plus de 300 salariés. Cet homme n'a apparemment jamais eu de problème dans sa vie, la vie lui a souri.

"nous n'étions plus dupes (avec qui ?) d'une quelconque manipulation", est-ce que devenir handicapé, et de vouloir ensuite continuer sa carrière professionnelle, est de la manipulation aux yeux de monsieur Christophe PALFI ?

Fallait-il être un vrai toutou, et jouer le rôle d'un marginal ? 

Capture47 J'ai compris du dernier

Le DTR pour clore le débat, rappel à Lydie KONFORTI, qu'il n'est plus question de s'intéresser à "ce marginal", c'était lui seul qui décidait. Lui il voulait montrer à sa hiérarchie qu'il pouvait faire faire des économies à son service, ce qui lui permettra d'évoluer et de s'épanouir, et d'être fière auprès de sa petite famille.

Si les Dirigeants de SFR étaient crédibles, ils n'auraient pas dû accepter le comportement injustifiable de ce DTR, Christophe PALFI. Celui-ci n'avait pas arrêté de sévir depuis début 2005, depuis le refus de m'attribuer de la mémoire sur un de mes PC.

Monsieur Benjamin BLAVIER était au service de Christophe PALFI qui avait pour rôle d'imposer, et à monsieur Benjamin BLAVIER de faire exécuter !

J'espère que ces deux personnages auront une fin de carrière aussi douloureuse, et à la hauteur de leur méfait.

Ici il aurait pu préciser" à nouveau le sujet". Car Benjamin BLAVIER n'a rien inventé lors de cette entrevue, c'étaient bien les directives de Christophe PALFI, qu'il m'a imposées. 

Capture48 de ma position affirmée

 

Capture49 Ceci démontre le peu de sérieux

Je n'avais pas connaissance de ces écrits, mais ce discours de la part du DTR, comment peut-on le qualifier ? 

Capture50 Ainsi que Mme Konforti 

Il ne faut pas tout mélanger, j'avais fait appel, à l'élu CGT, et à madame Lydie KONFORTI, pour changer d'emploi et de service.

Je n'avais plus le choix, comme démontré ci-dessus, le médiateur et la responsable handicap m'ont contraint de prendre ce poste, je m'étais battu pour un autre, mais la discrimination est intolérable et n'a pas de limites.

De la part de ce médiateur, c'est insupportable et inacceptable. Comment peut-il justifier d'une telle attitude, j'espère que la question lui sera posée, quand mon blog sera publié et diffusé.

Je pourrais connaître enfin la raison qui a poussé, ces deux jeunes directeurs à me discriminer de la sorte. Est-ce, ce fameux Plan de Dégraissage qui était déjà en marche, et initié par la Direction, avec ce regain de propagande tout au long de l'année 2006, pour déporter l'attention. 

Capture50 

Il est vrai, que devant le refus et cette contrainte de changer de poste, pour effectuer le même travail que mes anciens managers, Chargé d'Audit à l'Administration. Que j'avais postulé pour un poste de Chargé d'Audit à la Maintenance, qui n'a rien à voir entre eux, l'un est sédentaire, l'autre est sur le terrain. 

Capture52 il souhaitait que soit

Il était normal d'obtenir au moins cet intitulé, qui avait été abordé lors de cette entrevu, mais la réponse n'avait pas été apportée.  Le donneur d'ordre n'était autre que le DTR, et non une proposition de la Mission Handicap, qui manquait cruellement d'indépendance.

Mon responsable n'était pas contre lors d'un entretien avec celui-ci, avec l'élu CGT, Thierry CHESA.

Intitulé, que mes futurs collègues avaient pu obtenir, puisque je devais faire partie de ce groupe, je ne voulais pas une fois de plus être marginalisé, et être toujours sous la tutelle de mon ancien manager, monsieur PICTON. Avec le recul, dans la suite de ce roman, on s'apercevra que j'étais entouré de scorpions.

Je pense qu'il est important de travailler sur un poste choisi, et non contraint. Dans une ambiance saine. Cette inégalité de traitement est évidente, on essaye de m'étouffer dans ce service où je n'avais aucun avenir. Toute personne connaissant une fin de carrière aussi déplorable aura les mêmes réactions. Même pour un Ministre qui ne craint pas pour son emploi, l'exemple de monsieur Henri Guaino quittant l'Élysée les larmes aux yeux, c'est humain.

Prenons le cas de Ségolène ROYAL, qui avait été éprouvé à plusieurs reprises, a pu enfin retrouver la sérénité, avec un poste à la mesure de ses ambitions.

Moi qui étais devenu handicapé, SFR un "référent", ne m'avait donné aucune chance.

SFR au contraire m'avait jeté comme un malpropre, comme une personne handicapante.

Chez SFR, j'étais un Pion à mettre au rebut, dès le départ, aucun sentiment, les chiffres et la prime touchée pour tout individu viré, étais primordial.

J'avais pensé à tort que Benjamin BLAVIER était l'homme providentiel. Pourtant, après mon licenciement, j'ai retrouvé les traces de la mise en place de ce médiateur. Une arrivée triomphante, là aussi très médiatisée, pas moins de 11 pages lui ont été consacrés.

http://rfg.e-revues.com/article.jsp?articleId=5874


Tout cela payé avec les aides et subventions pour faire face au handicap.

Ce "fameux" Médiateur SFR : pas moins de trois éminents professeurs se sont penchés en 2004, sur le cas de SFR Cegetel(...) et l'on voit cette idée novatrice en action, en interne, sur un cas concret, mais inefficace car complètement dévoyéUn Médiateur qui peut imposer les desiderata de la Direction. Alors que pour moi, je fondais toute mon espérance en lui. 

Capture52

 

Capture53 Le médiateur

Nota : Jérôme Duval Hamel, est un proche de SFR.

Sur Wikipédia, on le retrouve dans le Comité exécutif dans le groupe SFR/Cegetel.

Stéphane ROUSSEL a succédé à Jérôme Duval Hamel. Chacun pourra noter la valeur de ce rapport, qui manque cruellement de dépendance.

Pour la troisième fois, arbitrairement, un DTR prend seul la décision, et non le Comité de Reclassement, en rejetant les Accords Handicaps, 2002, et 2006.

Rien n'arrête SFR, dans sa propagande dans les médias, sur le dos des plus fragiles de l'entreprise, pour ce faire une belle image.

L’affaire Cahuzac nous a démontré une fois de plus, qu’un beau parleur, un homme droit dans ses bottes, n’est pas forcément un homme intègre. SFR et ses beaux discours, ses études bidons semblent avoir le même profil.

Est-ce digne d'une société comme SFR. Qui est présent dans chaque manifestation, chaque débat, de démontrer les valeurs de SFR aux jeunes des banlieues, d'engranger des trophées, de tenir des conférences au plus haut niveau de l'état (...). D'accepter un tel comportement, envers un handicapé, qui plus est, un senior handicapé maison, gravement blessé, ou j'avais failli rester au bord du chemin, en mission pour mon service. SFR avait une grande part de responsabilité.

  • Par manque d'effectif, avec un cota d'heures dépassées en moins de quatre mois.
  • Celui-ci m'aurait tout juste offert gracieusement une gerbe de fleurs.


Voilà, les premiers mots, du Représentant du personnel, CGT, Nicolas de Brabant, au CHSCT Centre-Est :

Capture54 piece 35

Comment monsieur Benjamin BLAVIER peut-il être crédible, avec des paroles. Alors que dans les actes, après cette entrevue le 23 novembre 2006, son comportement était complètement différent. Je n'allais pas voir en lui le côté humain dans ces propos. Il n'allait pas pouvoir m'extraire de mon bourbier, malgré sa "grande expérience", en faisant bouger paraît-il la France. Alors comment ?

Il aurait pu changer mon destin, en faisant appliquer les Accords Handicaps.

Ce qui a valu entre autres à Frank ESSER, pour le social, de recevoir la Légion d'honneur et d'être élevé au grade de Chevalier.

 

Capture55 piece 42, lydie Konforti

 

On peut s'apercevoir que ces deux personnages continuaient inlassablement de véhiculer la propagande, vantant les mérites de SFR.

Il était sous la responsabilité de Stéphane ROUSSEL Directeur des Ressources Humaines, qui, lui aussi, n'était pas en reste, ici en mars 2006

 

Capture56 SFR créa

 

Même trahison que le 16 février 2003, par mes responsables, et le DTR, Vincent BAUMIER, en me supprimant mon poste et en m'affectant d'office un autre poste moins valorisant.

Pourtant, un travail intellectuel, d’après ce DTR, Vincent BAUMIER

 

Capture57 Certain, dont je suis

Comme chacun a pu le constater, SFR crée des montagnes de spots pour les médias ventant ses mérites, en interne une pléiade d' accord pour protéger les salariés. SFR récolte des trophées, des labels (...)  SFR ne respecte rien, comme vous avez pu le constater pour mon cas, qui n'aurait jamais dû se produire, si SFR avait de vraies valeurs, et non des valeurs fondées sur la finance. Si SFR semble s'impliquer autant, c'est que ce Bisness est très juteux, il en retire des rebombées incalculables, une vrai niche.

SFR n'est pas un philanthrope, il peut ainsi gérer les pénalités comme bon lui semble, avec seulement 1.5 % de handicapés dans ses murs.

Monsieur, Benjamin BLAVIER, a un droit de réponse, il peut à son tour défendre sa position. A cette époque il se faisait connaitre, ce qui l'a propulsé, par la suite, pour devenir cet incontournable que l'on retrouve aujourd'hui, dans le monde de la diversité.

SFR a lui à aussi été propulsé, à tel point qu'il en est devenu aujourd'hui, un véritable lobby, avec des tentacules tissées à tous les étages, avec une collection astronomique de projets et de trophées, de distinctions (...) Lundi, 18 novembre, début de la semaine du handicap  2013.

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité